Buchenwald pour son père, résistant, arrêté et torturé par la Gestapo, déporté dans ce camp d'où il sera parmi les survivants libérés.Un homme qui ne pesait plus que 39 kg.
Kigali , et là c'est de tout le pays que la conférencière a parlé, car quelques années après le génocide elle est allée travailler au Rwanda et a été le témoin de ces années de reconstruction.
Ce serait banal et courant d'écrire, pendant plus d'une heure, la conférencière a su tenir en haleine un auditoire attentif. Non, pour le thème abordé pour ce "à Naucelle " on raconte l'attention allait bien au-delà d'une simple écoute.
Ce " à Naucelle on raconte " du 2 mars 2020 marque la fin d'une aventure commencée il y a tout juste 11 ans en mars 2009 avec la fabuleuse épopée des Campaniers du soir par Paul Cousty. L'occasion de rappeler que cette aventure a été initiée par la mairie de Naucelle avec son adjoint à la culture Pierre Cluzel. Il s'est entouré d'une équipe de bénévoles dont j'ai eu le bonheur de faire partie.En 11 ans, ce sont pas loin d'une centaine de conférences tenues à Naucelle et dans des communes du canton. Et le succès des conférences gratuites suivie d'un repas ne s'est jamais démenti.
L'avenir nous dira le devenir de cette aventure.