Il y a quelques semaines j'écrivais le sujet : conte d'une nuit d'été ( en bas colonne de gauche dans cette même rubrique art et culture ) qui racontait la mésaventure sous forme de vandalisme qui était arrivée au circuit botanique.
A l'issue d'une fête à la salle des fêtes le parcours botanique avait subi les outrages de quelques fêtard en quête d'exploits autant anonymes qu'imbéciles. Boites à poèmes cassée, poèmes éparpillées aux quatre vents et cinq orages, fleurs arrachées, clôtures endommagées ...
Ils étaient plus de quatre à ce qu'il paraît et au pied de ce chêne remarquable où le poète et chanteur sétois vivait heureux il chantait aussi
"Le pluriel ne vaut rien à l'homme et sitôt qu'on
est plus de quatre on est une bande de ... " QU'ON SE LE DISE !
Alors Juliette conceptrice de ce parcours et Léo loin de se décourager ont remis tout en ordre, et pour bien montrer aux fêtards d'un soir le lieu de leurs méfaits deux banderoles que j'ai faites ont été apposées.
A suivre ... du moins le parcours.